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Arsenal : Wenger reconnaît enfin l’évidence, mais…

Arsène Wenger

Crédit photo : Kostas Koutsaftikis / Shutterstock.com (27)

Les résultats d’Arsenal sont de pire en pire. Les Gunners viennent d’enchainer une 4e défaite de rang qui fragilise un peu plus Arsène Wenger.

Arsenal a la tête au fond du seau. En s’inclinant (2-1) dimanche sur la pelouse de la modeste équipe de Brighton, les coéquipiers de Pierre-Emerick Aubameyang (titulaire et buteur) ont concédé une 4e défaite consécutive et une 6e en 8 matchs toutes compétitions confondues ; une 3e défaite d’affilée et une 4e en 5 matchs de championnat ! Les conséquences de cette série très négative sont catastrophiques : les Gunners sont relégués à la 6e place au classement, à 13 longueurs de la 4e, la dernière qualificative pour la Ligue des Champions.

A moins de remporter la Ligue Europa comme Manchester United la saison passée (le vainqueur est désormais qualifié automatiquement pour l’édition suivante de C1), Arsenal risque fort d’être absent de la plus prestigieuse des compétitions pour la deuxième année consécutive. De quoi donner un peu plus de poids aux arguments de ceux qui demandent le départ d’Arsène Wenger. Est-il le premier responsable de ce désastre ?

Wenger pense pouvoir sortir Arsenal de la crise

« C’est difficile de dire si c’est sa faute, ou notre faute. Les joueurs ont une responsabilité, l’entraîneur en a une aussi », a réagi le défenseur français Laurent Koscielny après la défaite. De son côté, l’Alsacien cherche des solutions. « C’est la première fois de toute ma carrière que cette situation arrive. Ce n’est pas simple mais j’ai assez d’expérience et d’envie pour remettre les choses en ordre », a-t-il assuré au micro de SFR Sport.

« Je crois que la qualité d’un entraîneur est aussi d’essayer de faire en sorte que la période de crise soit la plus courte possible. Et j’ai toujours réussi à le faire et je crois toujours être en capacité de pouvoir le faire », a-t-il positivé en conférence de presse. Ses détracteurs diront que la crise dure désormais depuis des années, et qu’elle s’aggrave mois après mois.

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