Les dirigeants du PSG continuent de suivre l’évolution de la situation en ce qui concerne l’attaquant Antoine Griezmann (FC Barcelone).
Sur le plan sportif, les décideurs du Barça n’ont aucune raison de vouloir vendre Griezmann. Après une première saison d’adaptation délicate au Camp Nou, l’ancien joueur de l’Atletico Madrid est monté en puissance lors de l’exercice suivant. L’international français âgé de 30 ans a disputé 51 matches, inscrit 20 buts et effectué 13 passes décisives toutes compétitions confondues. Mais sur le plan économique, la donne est différente.
En clair, le club catalan est très endetté. Afin de pouvoir prolonger le contrat de Lionel Messi, les Blaugrana doivent dégraisser l’effectif de Ronald Koeman. Le départ de Griezmann, qui est sous contrat jusqu’au 30 juin 2024, permettrait d’encaisser une grosse indemnité de transfert. Par ailleurs, il serait aussi bénéfique au niveau de la masse salariale globale du FC Barcelone. Actuellement, le gaucher encaisse environ 33,8 millions d’euros par an ce qui est une somme astronomique.
Ça coince avec l’Atletico pour Griezmann…
Selon le site du quotidien As, on assiste actuellement à un « blocage » à propos de l’échange « avec Saúl (Ñíguez) » qui évolue à l’Atletico Madrid. En effet, « le Barça n’était pas satisfait des conditions ». Au cours des heures ou des jours à venir, la situation pourrait se débloquer. En attendant, les Blaugrana explorent d’autres pistes afin de céder Antoine Griezmann à un autre club huppé.
Ils multiplient les « échanges » en coulisses. Problème : Griezmann privilégie nettement le fait de revenir à l’Atletico Madrid où il a brillé de mille feux. Au rayon des « clubs intéressés » par ses services, malgré ce constat, on retrouve des pensionnaires de Premier League. Citons par exemple Chelsea, Manchester United ou encore Manchester City.
En France, le PSG est aussi mis en avant par As, de même que la Juventus Turin en Italie. Pour l’heure, le champion du monde 2018 reste ancré au FC Barcelone. De toute manière, « son départ » éventuel « ne répond qu’aux difficultés économiques que traverse Barcelone ». L’ère Josep Maria Bartomeu a laissé des traces. Cela n’a pas échappé au nouveau président Joan Laporta…
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