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Mercato/Arsenal : Wenger prend le risque du siècle pour deux stars

Arsène Wenger

Crédit photo : Mitch Gunn / Shutterstock.com (39)

Arsène Wenger se moque des rumeurs qui annoncent les départs de Mesut Özil ou encore d’Alexis Sanchez. Le manager d’Arsenal a décidé d’adopter une stratégie précise pour conserver ces ailiers importants.

Les supporters d’Arsenal sont inquiets. Inquiets car les ailiers Alexis Sanchez et Mesut Özil n’ont pas l’air d’être pressés de prolonger leurs contrats qui expireront en juin 2018. Si cette situation restait en l’état jusqu’au coup d’envoi du mercato estival 2017, alors plusieurs grandes écuries sortiraient du bosquet pour tenter de déloger le Chilien et l’Allemand. Depuis le coup d’envoi de la saison, Alexis Sanchez (20 matches, 13 buts et 10 passes décisives) et Mesut Özil (19 rencontres, 8 apparitions et 6 passes décisives) ont livré bon nombre de prestations cinq étoiles.

Cela a permis à Arsenal d’obtenir la première place de son groupe en Ligue des champions, devant le PSG, et d’occuper la seconde position en Premier League (3 points de retard par rapport à Chelsea). Du coup, les fans du club anglais croisent les doigts pour que le duo Sanchez – Özil accepte de signer un nouvel engagement longue durée à l’Emirates Stadium. Alors que des rumeurs commencent à fleurir au sujet de ces deux éléments, Arsène Wenger a frappé un grand coup.

Wenger fait un pari osé

Le manager français d’Arsenal a expliqué qu’il était hors de question pour lui de se séparer du Chilien et de l’Allemand ! « Peu importe ce qui passera. Ils resteront ici pendant 18 mois et espérons-le pendant bien plus longtemps. » Si le natif de Tocopilla et celui de Gelsenkirchen refusaient de rempiler, alors ils pourraient signer un pré-contrat en faveur de n’importe quelle écurie dès le 1er janvier 2018.

Le board d’Arsenal prendrait alors un coup de massue derrière la tête. En effet, Alexis Sanchez et Mesut Özil ont une très bonne valeur marchande sur le marché des transferts. Le fait de les voir partir gratuitement serait à n’en pas douter un fiasco financier pour un club qui, depuis l’arrivée d’Arsène Wenger en 1996, a toujours apporté un soin particulier à bien gérer ses comptes.

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