Hatem Ben Arfa n’a pas été très performant au sein de l’équipe du PSG depuis le coup d’envoi de la saison. En dépit de cela, le milieu offensif n’a pas envie d’abdiquer et donc de quitter le Parc des Princes par la petite porte.
Après avoir vécu des expériences décevantes à Newcastle United puis Hull City, Hatem Ben Arfa s’était refait la cerise à l’OGC Nice la saison dernière. Ensuite, le milieu offensif s’était engagé en faveur du PSG. Histoire de prouver à tous ses détracteurs qu’il était capable d’évoluer et bien sûr de briller dans un club de très haut niveau. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le footballeur âgé de 29 ans n’a pas été flamboyant au Paris Saint-Germain. Ses statistiques (1 but et 2 passes décisives en 18 matches) prouvent que le natif de Clamart n’a pas réussi à faire chavirer souvent les supporters parisiens.
Dès le coup d’envoi du mercato hivernal, les dirigeants franciliens vont enregistrer l’arrivée de Julian Draxler. Forcément, la concurrence va monter d’un cran pour les autres ailiers majeurs du PSG (Angel Di Maria et Lucas Moura) lors de la seconde partie de la saison. Il faut dire que l’indemnité de transfert de l’international allemand est comprise entre 36 et 42 millions d’euros en fonction des bonus. On imagine quand même assez mal que l’entraîneur Unai Emery ne soit pas tenté par le fait d’aligner ce joker hivernal de luxe d’entrée de jeu…
Ben Arfa s’accroche au fauteuil PSG
Alors que l’Espagnol Jesé est sur la rampe de départ, Hatem Ben Arfa n’a pas l’air d’avoir envie d’imiter l’ex-footballeur du Real Madrid. A en croire L’Equipe, le footballeur qui a débuté sa carrière professionnelle à l’OL est persuadé qu’il a les qualités requises afin de s’imposer durablement au PSG. Du coup, il n’a pas réclamé un bon de sortie en vue du marché des transferts. A lui de mettre les bouchées doubles afin de convaincre Unai Emery qu’il peut être bien mieux qu’une solution de remplacement au Parc des Princes. En Turquie, les dirigeants de Fenerbahçe sont aux fourneaux pour recruter Hatem Ben Arfa. Mais sauf coup de théâtre, ils n’arriveront pas à le déloger en janvier.