Afin de concurrencer Edinson Cavani, l’entraîneur du PSG, Unai Emery, songe à réclamer la venue d’un attaquant axial en vue du mercato hivernal. Carlos Bacca pourrait être l’heureux élu au Parc des Princes.
A 30 ans, Carlos Bacca est vraiment dans une forme étincelante depuis le coup d’envoi de la saison. Au Milan AC, le goleador colombien a marqué 5 buts et effectué 3 passes décisives en Serie A. Résultat, les Rossoneri occupent la 6e place du classement en Italie, après avoir pris 9 points sur 15, et ils comptent seulement 3 longueurs de retard sur la Juventus Turin qui est leader.
Même s’il est encore un peu tôt pour célébrer le retour du Milan AC sur le devant de la scène transalpine, on peut dire que l’apport de Carlos Bacca va sans doute continuer de faire un bien fou à l’escouade entraînée par Vincenzo Montella. En France, un entraîneur suit de près l’évolution du footballeur sud-américain. Il s’agit assurément de l’Espagnol Unai Emery.
Bacca était la gâchette d’Emery
Lors du passage de Carlos Bacca au FC Séville (2013-2015), ce dernier avait eu la chance de pouvoir le diriger. A en croire Sport Mediaset ou encore Tuttosport, Unai Emery serait ravi de collaborer de nouveau avec lui. En l’espace de deux saisons, Carlos Bacca avait marqué 49 buts au total en Andalousie. Il était assurément un maillon fort de la formation orchestrée par Unai Emery.
Depuis cette époque, les deux hommes entretiennent « une relation particulière ». En coulisses, Unai Emery essaie de trouver un « terrain fertile » afin de convaincre Carlos Bacca de venir s’exprimer au PSG dès le début de l’année prochaine. Si on se réfère aux propos marquants du natif de Barranquilla, à propos d’Unai Emery, on peut dire que cela commence à porter ses fruits.
Le prix de Bacca est un mystère
« Emery est le meilleur entraîneur que je connaisse. Il a tiré le meilleur de moi-même. J’aimerai le retrouver un jour. » En juillet 2015, le transfert de Carlos Bacca avait coûté environ 30 millions d’euros aux Milanais. Aujourd’hui, sa valeur a encore augmenté sur le marché. Mais est-ce vraiment un problème pour les Qatariens qui ont les moyens de leurs ambitions ?