Le milieu offensif Pablo Sarabia admet que le PSG n’est plus aussi fort qu’en mars, à l’heure de défier Bergame en Ligue des Champions.
Le Paris Saint-Germain défie l’Atalanta Bergame ce mercredi soir (21h) à Lisbonne en quarts de finale de la Ligue des Champions. Cela vaut aussi pour le club italien privé de plusieurs joueurs importants ; les troupes de la capitale n’abordent pas ce rendez-vous décisif en pleine possession de leurs moyens puisqu’elles seront privées de Marco Verratti, Angel Di Maria et probablement de Kylian Mbappé qui devrait débuter sur le banc suite à sa blessure à la cheville contractée il y a deux semaines et demie en finale de la Coupe de France.
En recherche de rythme, le PSG est moins fort qu’en mars
Au-delà de la quantité d’effectif, se pose également la question de la qualité du collectif. Si Thomas Tuchel affirme qu’un esprit s’est créé après le match aller perdu à Dortmund en 8es, Pablo Sarabia admet pour sa part que le PSG n’est plus aussi fort qu’en février-mars, du fait de l’arrêt des compétitions subi pendant quatre mois. Le manque de rythme avec seulement deux matchs officiels dans les jambes pourrait être préjudiciable face à l’Atalanta qui a lui disputé 13 rencontres depuis fin juin, avant de recharger les batteries ces dix derniers jours.
« Il est vrai que nous n’avons pas le même niveau qu’en mars. En février-mars, nous étions au top, c’était le fruit du travail tout au long de l’année », a confié le milieu offensif espagnol. « Puis nous avons traversé une période assez particulière, que nous n’avons jamais connue auparavant. Nous avons besoin de temps pour retrouver du rythme. Nous essayons de faire le maximum pour être prêts physiquement », a-t-il avoué.
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