La saison dernière, Kevin Trapp était clairement le gardien de but numéro 1 au PSG (46 apparitions au total). Aujourd’hui, l’Allemand âgé de 26 ans est en concurrence avec Alphonse Areola puisque Salvatore Sirigu est sur la rampe de départ. Il n’est pas encore sûr à 100% d’être titulaire à l’occasion des matches officiels…
Il y a quelques heures, l’équipe du PSG a rendu une bonne copie face au Real Madrid. Les Parisiens se sont imposés sur le score de 3 buts à 1 grâce à un doublé du défenseur belge Thomas Meunier et à une réalisation du jeune milieu offensif français Jordan Ikoné. Avant le coup d’envoi de match amical, l’entraîneur du PSG, Unai Emery, avait décidé d’aligner d’entrée de jeu Kevin Trapp.
Cette fois, le gardien de but allemand est resté pendant l’intégralité de la rencontre sur la pelouse. Même si c’est de bon augure pour lui, en vue du coup d’envoi réel de la saison 2016/2017, l’ancien joueur de l’Eintracht Francfort et Kaiserslautern ne s’est pas enflammé au moment d’évoquer son statut par le biais du journal Le Parisien. « Je ne sais pas. Je m’entraîne dur. Je travaille pour être titulaire. C’est mon objectif, bien sûr. J’ai joué l’année dernière et rien n’a changé, je veux jouer cette année aussi », a-t-il souligné avec une grande détermination.
Le vent est favorable à Trapp
Alors qu’Alphonse Areola sort d’une belle saison en prêt à Villarreal et qu’il rêve de s’emparer de la place de titulaire au PSG, Salvatore Sirigu ne se trouve pas aux États-Unis pour disputer l’International Champions Cup. En effet, Unai Emery n’avait pas retenu l’Italien pour cet événement afin, sans doute, de lui permettre de négocier éventuellement avec un ou plusieurs clubs durant ce mercato estival.
Sans trop s’avancer, on peut quand même dire que Kevin Trapp a plus de chances qu’Alphonse Areola d’être aligné contre l’OL (6 août, Trophée des champions) puis face à Bastia (12 août, 1ère journée de Ligue 1). Seule une blessure sérieuse (on ne lui souhaite évidemment pas un tel coup dur…) ou encore une période de méforme semblent être en mesure de bousculer sérieusement la hiérarchie qui se dessine au Parc des Princes.