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Mercato / Monaco : Falcao, Fabinho… Vasilyev avoue une chose importante

Radamel Falcao

Crédit photo : Maxisport / Shutterstock.com (18)

Le vice-président de Monaco, Vadim Vasilyev, n’a pas caché que plusieurs éléments pourraient quitter le Rocher lors du mercato estival.

Cette semaine, l’entraîneur Leonardo Jardim a fait savoir qu’il voulait poursuivre l’aventure à Monaco. Il s’agit forcément d’une bonne nouvelle pour les dirigeants de l’ASM qui craignaient que le Portugais choisisse de relever un autre challenge à l’étranger. Puisque cette histoire est réglée, les Monégasques peuvent songer sereinement au prochain mercato estival. Dans les colonnes du journal l’Equipe, le vice-président Vadim Vasilyev a laissé entendre qu’il y aurait « pas mal de départs et pas mal d’arrivées » durant cette période consacrée aux transferts. Le Russe a indiqué que « le but » était de « construire une équipe compétitive et plus forte ».

L’objectif est notamment de « faire mieux en C1 » après avoir quitté la compétition par la petite porte, durant cette saison 2017/2018, à l’issue de la phase de poules. On peut penser que des éléments comme Djibril Sidibé, Thomas Lemar ou encore Fabinho auront, sans doute, envie de changer d’air cet été. Cela est surtout valable pour les deux derniers joueurs cités qui envisageaient déjà de le faire l’année passée. Au sujet du goleador Radamel Falcao, Vadim Vasilyev a souligné le fait que lui et ses collaborateurs voulaient « le garder ».

Monaco n’a pas pris de risques pour Falcao

L’homme d’affaires attend de connaître l’avis définitif du Colombien. « Si c’est sa volonté (de partir), ça se discute, mais on ne l’a pas évoqué car ce n’était pas le moment. » Lors de cette seconde partie de saison, Radamel Falcao a dû composer avec une blessure tenace à la cuisse. Ses performances ont été bien moins bonnes. Par ailleurs, Vadim Vasilyev a laissé entendre « qu’El Tigre » a été préservé en vue de la Coupe du monde 2018. « S’il s’était blessé (juste avant le Mondial), on n’aurait pas pu vivre ça, en termes humains. J’ai vécu ça à ses côtés il y a quatre ans. »

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