La situation d’Arsène Wenger à Arsenal est de plus en plus délicate. Plusieurs éléments n’arrangent pas les affaires du manager français qui ne fait plus du tout l’unanimité. Le nom de Massimiliano Allegri (Juventus) circule encore plus pour le remplacer.

Face à une équipe de Liverpool qui piétine, dans l’ensemble, depuis le début de l’année, l’équipe d’Arsenal a chuté. A Anfield, les Gunners se sont inclinés sur le score de 3 buts à 1. En plus de devoir assumer cette défaite cuisante, le manager londonien, Arsène Wenger, a aussi dû se justifier après avoir laissé Alexis Sanchez sur le banc lors de la première période. C’était surprenant dans la mesure où l’ailier chilien était clairement la meilleure satisfaction de sa formation depuis le coup d’envoi de la saison. Critiqué par les journalistes et les fans d’Arsenal, dont certains ont réclamé son départ à Anfield, Arsène Wenger a tenté de se défendre tant bien que mal.

« En première mi-temps, les attaquants ont souffert parce que nous n’avons pas dominé au milieu de terrain. Lors de la seconde période, vous avez vu que c’était plus facile. Danny Welbeck et Olivier Giroud étaient beaucoup mieux donc c’est toujours discutable. » Histoire de calmer le jeu, le Français a indiqué qu’il n’avait pas sanctionné Alexis Sanchez en le laissant, une fois n’était pas coutume, sur le banc au moment du coup d’envoi. « Je suis assez fort et lucide pour analyser. Je ne nie pas le fait qu’Alexis Sanchez est un grand joueur. Je l’ai acheté mais c’était mon plan. » Pour les journalistes du Daily Express, ce revers face à Liverpool n’arrange pas les affaires d’Arsène Wenger.

Allegri pour remplacer Wenger ?

A leurs yeux, l’ancien coach de Monaco ne sera sûrement plus le manager d’Arsenal la saison prochaine. En coulisses, le board des Gunners a actionné le levier afin de sonder d’autres techniciens de qualité. Visiblement, celui de la Juventus Turin, Massimiliano Allegri, a donné son « accord verbal » aux Londoniens pour une signature éventuelle. Présent à Arsenal depuis l’année 1996, Arsène Wenger est vraiment dans la mélasse lors de cet exercice. Il n’a jamais été fragilisé et même acculé à ce point par ses nombreux détracteurs. La fin de son règne est plus que jamais une hypothèse crédible…