L’ancien gardien de but du PSG et de l’équipe de France, Bernard Lama s’est lâché sur Fabien Barthez et Luis Fernandez notamment.
Bernard Lama a accordé un entretien au magazine So Foot au cours duquel il n’a pas fait dans la dentelle. L’ancien gardien de but de 53 ans a en particulier pointé du doigt le quotient intellectuel de son ancien entraîneur au PSG Luis Fernandez, de ses anciens coéquipiers parisiens Marco Simone et Christian Wörns et de son concurrent en équipe de France Fabien Barthez.
Barthez, ce bon soldat, blanc, pas très intelligent
« Barthez, c’est un bon soldat ! Il est blanc, pas très intelligent, il ne fait pas trop d’histoires, il a été le chouchou à une époque mais aujourd’hui, on ne l’appelle pas pour parler de football », a-t-il asséné. « Avec Fabien, on s’entendait bien sans être potes. Les gens ont monté ce truc (de la rivalité). Barthez a été un symbole de la lutte anti-Lama : des joueurs voulaient me sortir et des médias ont joué le jeu de Barthez », a accusé l’ancien portier aux 44 sélections.
Fernandez était à côté de la plaque
« Fernandez, c’était le folklore. C’est un entraîneur de coupes, pas un entraîneur de stabilité. Toutes les semaines, fallait qu’il change l’équipe. C’est quelqu’un qui n’a pas compris où il était. C’était trop haut pour lui. Intellectuellement, il y avait un décalage », a-t-il jugé. « Dans la gestion humaine, il était à côté de la plaque. (…) Maintenant, il n’y a plus de soucis, il m’appelle (pour des interviews), je réponds à ses sollicitations », a poursuivi Bernanrd Lama à propos de celui qui l’a dirigé à Paris entre 1994 et 1996.
Simone, « un gros con » pour Lama
L’ex-gardien a réservé ses mots les plus crus à l’égard de l’ancien attaquant italien Marco Simone avec qui il a cohabité entre 1997 et 1999. « Simone, c’est un gros con qui se la racontait », a-t-il lâché sans nuance. Quant au défenseur allemand Christian Wörns avec qui il a joué en 1998-1999, il « touchait un gros salaire mais c’était un lâche. Il était limité et ne savait faire que le marquage individuel. » Voilà qui est dit…