Josep Maria Bartomeu et Antoine Griezmann ont répondu aux menaces de poursuites de l’Atletico Madrid.
L’Atletico Madrid a mis la pression sur le Barça en le menaçant de poursuites pour avoir négocié le transfert d’Antoine Griezmann avant le 1er juillet, quand sa clause libératoire était encore à 200 millions d’euros. Le club de la capitale demande dès lors 80 millions d’euros de plus que les 120 versés, correspondant au montant de la clause après cette date. Lors de la présentation de l’attaquant français face à la presse, le président blaugrana Josep Maria Bartomeu s’est montré serein.
Bartomeu pas inquiet
« J’ai parlé avec l’Atletico. Je ne crois pas qu’ils aient de preuve puisqu’il n’y en a pas. Je comprends qu’ils défendent leurs intérêts parce que nous faisons la même chose. J’ai parlé avec ‘le président de l’Atletico, Enrique) Cerezo. Je ne crois pas que, s’ils continuent dans leurs démarches, il y ait une évolution en faveur de l’Atletico. Il n’y a rien », a-t-il plaidé. De son côté, Antoine Griezmann regrette ce dénouement.
Griezmann désolé de l’attitude de l’Atletico
« Dommage par rapport à l’Atletico. Je suis allé les voir exprès pour ne pas les prendre en porte-à-faux, qu’ils puissent préparer l’avenir. On s’était mis d’accord mais finalement, ça a changé, mais voilà c’est comme ça, faut accepter. (…) C’est toujours difficile de quitter un endroit où on se sent bien, qui est comme ta famille. Je n’ai que du respect et de l’admiration pour l’Atletico, j’ai tout donné pour le club et je n’ai aucune honte », a confié le champion du monde français.