Au cours d’un entretien relayé par RMC, Mario Balotelli a livré les raisons pour lesquelles il a endossé le maillot de l’OM cet hiver.
Tout d’abord, l’ancien attaquant de l’OGC Nice a fait savoir qu’il est vraiment « heureux à Marseille ». Cela faisait déjà un certain temps que Balotelli souhait relever « un nouveau challenge ». Après avoir tenté de le recruter durant l’été 2018, les Marseillais sont revenus à la charge pendant le mercato hivernal. « Super Mario » n’a pas hésité à dire le mot « oui » aux Phocéens.
Histoire de rebondir après une première partie de saison catastrophique chez les Aiglons (0 but, relation difficile avec Vieira…). Puis Balotelli a évoqué les raisons qui l’ont incité à relever le challenge proposé par l’OM. D’une part, l’Italien considère que « l’environnement » lui convient et que « les gens ont un caractère similaire » au sien. Sur le plan sportif, « Super Mario » est enchanté d’évoluer dans une équipe « très forte, avec des joueurs très compétitifs et de qualité » qui l’ont « rapidement intégré au groupe ».
Balotelli veut s’inscrire dans la durée
Il espère que son nouveau club réussira à « accrocher le podium » en Ligue 1. Histoire de disputer la prochaine édition de la Ligue des champions. A ce stade, le buteur espère « rester le plus longtemps possible » au Stade Vélodrome même si pour l’heure, il ne sait pas où il jouera la saison prochaine. Par ailleurs, Balotelli a été séduit par le fait de jouer sous les ordres de Rudi Garcia qui voulait « aussi » vraiment l’avoir sous ses ordres.
Enfin, le natif de Palerme a fait un clin d’œil aux fans de l’OM qui l’ont, dans l’ensemble, très bien accueilli en janvier. « « Les années passées, quand je venais à Marseille avec Nice, j’aimais déjà les supporters. Je souhaite que mes rapports avec eux soient encore plus forts avec le temps. Ils doivent nous donner du temps, être patients. C’est une belle relation, qui va s’améliorer », a-t-il assuré. Pour le moment, tous les voyants sont au vert pour Mario Balotelli à l’OM. Pourvu que ça dure comme dirait l’autre !