A en croire L’Equipe, les dirigeants du PSG et de l’OM font face à deux dilemmes différents en ce qui concerne leurs stades respectifs.
En ce qui concerne l’enceinte du Paris Saint-Germain, autrement dit le Parc des Princes, il semble que le président Nasser Al-Khelaïfi et consorts ne pourront pas agrandir cette dernière dans l’immédiat. Le Qatarien aimerait bien que le stade puisse accueillir 60.000 spectateurs le plus rapidement possible. Mais d’après L’Equipe, un tel agrandissement « n’interviendra pas avant 2024 ».
Autrement dit, dans le cadre des « Jeux Olympiques de Paris ». Apparemment, c’est un problème de « délai » qui empêche les décideurs parisiens de lancer la machine. Il faut dire que la transformation du Parc des Princes « engendrerait de nombreux travaux à l’intérieur de l’enceinte » mais également « à l’extérieur » (routes, accès divers…).
Le Vélodrome au cœur d’un conflit
A propos du Stade Vélodrome, qui est le stade mythique de l’OM, force est de constater que « les relations entre la direction » de l’écurie phocéenne et « Arema », qui gère l’enceinte, viennent d’être « coupées ». Un communiqué signé de la filiale de Bouygues a déclenché un gros orage au-dessus de Marseille. Récemment, le président de l’OM, Jacques-Henri Eyraud, s’était plaint de plusieurs choses (éclairage, sono…) et aussi du fait de ne pas pouvoir obtenir l’exploitation unique du Stade Vélodrome.
L’homme d’affaires avait même menacé carrément de lancer un projet afin de construire un nouveau stade. Il disait même que Frank McCourt et consorts avaient « les moyens financiers » pour atteindre cet objectif. Simple menace ou envie réelle de couper définitivement les ponts avec Arema et donc le Vélodrome (au grand dam de la mairie…) ? Dans le camp des supporters, une telle décision radicale entraînerait aussi des remous…