Tandis que les socios du FC Barcelone s’inquiètent à propos du futur de Lionel Messi, le président Josep Maria Bartomeu est plus que confiant sur ce dossier.
Le dirigeant du club catalan a la mémoire courte… Alors qu’il s’est fait chiper Neymar comme un bleu ou presque par le PSG, Josep Maria Bartomeu pense que tout va se terminer à coup sûr comme dans un conte de fées pour Lionel Messi. Attention à vous M. Bartomeu, la double lame risque de tomber en cas de nouveau fiasco durant l’année 2018. Rappelons que l’attaquant argentin est sous contrat au FC Barcelone jusqu’au 30 juin 2018. Légalement, un club pourra lui proposer un contrat, en vue de la saison à venir, à partir du 1er janvier.
C’est donc normal que bon nombre de supporters de l’écurie basée au Camp Nou grincent des dents. Ils se demandent franchement si Josep Maria Bartomeu arrivera à retenir « La Pulga » après avoir échoué pour Neymar. Dans le cadre d’un entretien relayé par Sport, le président du Barça a répété que tout était « accepté et signé » entre les deux parties concernées. Il a même révélé que « trois contrats » avaient déjà été entérinés. Pour lui, c’est une évidence, il n’y a plus qu’à attendre que Lionel Messi fasse « la photographie officielle » et acte un nouveau bail longue durée.
Messi et l’histoire de l’agenda
Josep Maria Bartomeu a ajouté que le nouveau contrat de « La Pulga » était « entré dans les comptes de la saison dernière » et qu’il n’y aurait donc « pas de problème ». Au passage, il a indiqué que lui et ses collaborateurs étaient « calmes » sur ce dossier. Problème, ils l’étaient déjà avant le transfert fracassant de Neymar au PSG… Pour justifier le fait que Lionel Messi n’ait pas rempilé depuis le début de l’été, Josep Maria Bartomeu a avancé « des problèmes d’agenda ».
Il espère qu’ils seront résolus au cours du mois à venir. « Nous trouverons l’heure », a-t-il promis aux fans. En coulisses, le quintuple Ballon d’Or n’a pas envie de servir de joujou à Josep Maria Bartomeu pour favoriser une réélection éventuelle (En savoir plus). Rappelons qu’une partie des socios songe à faire valoir une motion de censure pour procéder à sa destitution.