En quête d’un renfort au poste d’avant-centre, le PSG serait-il prêt à accueillir Jackson Martinez ou Graziano Pellè, actuellement en Chine ?
Sur quel attaquant le Paris Saint-Germain pourrait-il mettre la main cet hiver afin de doubler le poste tenu par Edinson Cavani ? La blessure contractée par l’Uruguay dimanche face à Rennes sonne comme un signal d’alerte. Mais le club de la capitale pourra-t-il trouver son bonheur lors d’un mercato hivernal généralement peu propice aux grandes manoeuvres ?
Selon l’ancien directeur sportif de Liverpool Damien Comolli, les champions de France ne pourront pas mettre la main sur un joueur de premier plan. « Paris vise donc des attaquants de classe mondiale. Il n’y en avait pas sur le marché l’été dernier, alors cet hiver… », cela semble en effet quasi impossible d’en dénicher un.
Agüero et Icardi inaccessibles cet hiver selon Comolli
« Et en plus il faut respecter l’équilibre du vestiaire et ne pas mettre quelqu’un dans les pattes de Cavani », au risque de déstabiliser le meilleur buteur actuel du club, a estimé le Français dans les colonnes du journal Le Parisien. Mauro Icardi et Sergio Agüero ont été annoncés dans le viseur du PSG. Mais pour Damien Comolli, convaincre l’Inter Milan et Manchester City s’annonce très compliqué.
« Il faut se mettre à la place de l’éventuel vendeur. Même si Icardi a des problèmes avec les supporteurs, la dernière chose que voudra faire l’Inter, c’est de vendre son capitaine. Et si Agüero était vraiment en froid avec Guardiola, quel joueur Manchester City pourrait-il acheter pour le remplacer ? » Autrement dit, Paris va devoir se rabattre sur un second couteau.
Pellè et Martinez feraient-ils l’affaire ?
Les champions de France se tourneront-ils vers la Chine d’où l’ancien de Porto Jackson Martinez et l’international italien Graziano Pellè seraient prêts à lever l’ancre ? « Alors, oui, on va proposer au PSG Jackson Martinez et Graziano Pellè qui ne sont pas contents en Chine, ou des mecs qui ne jouent pas. Mais est-ce que ça va renforcer Paris ? », s’est-il interrogé. Aux dirigeants parisiens d’en juger…