Dans son autobiographie, l’attaquant de Leicester, Jamie Vardy a expliqué comment il a appris que la vodka n’était pas un bon remède en cas de blessure.
Jamie Vardy a eu une trajectoire atypique. Arrivé sur le tard dans le monde professionnel, il y a appris les bonnes pratiques en matière d’hygiène de vie et de santé. Il y avait de quoi faire, si l’on se fie à l’anecdote qu’il raconte dans son autobiographie « Vardy’s on fire ! » à paraître prochainement. En 2012 (date de son arrivée à Leicester), le champion d’Angleterre 2016 avait un remède très original pour guérir de ses blessures.
De la vodka Skittles comme remède
Alors touché à un mollet, l’attaquant ne parvient pas à récupérer de ce pépin physique. Lors d’un rendez-vous avec le kinésithérapeute du club, celui-ci lui demande alors ce qu’il faisait de son temps libre. « Comme d’habitude », lui a-t-il répondu, avant d’entrer dans le détail de ses pratiques quotidiennes.
« J’avais une bouteille de vodka de trois litres à la maison et je mélangeais des Skittles dedans. Une fois que le bonbon était complètement dissous, j’en mettais d’autres, uniquement les rouges et les violets », car il n’aimait pas le goût de ceux d’une autre couleur. « Après cela, vous pouvez boire de la vodka et elle a un goût de Skittles », a-t-il révélé, un extrait rapporté par The Sun.
« Quand je m’ennuyais à la maison le soir, je me versais un verre et je profitais. La vodka était bonne mais ce n’était pas une bonne chose pour ma jambe qui n’arrêtait pas de saigner », a poursuivi Jamie Vardy. La vodka Skittles, il fallait y penser… Mais pour sa guérison, le kiné des Foxes lui a alors expliqué à sa grande surprise, à quel point cela pouvait être néfaste.