Accroché par Audrey Pulvar pour avoir payé très cher un morceau de viande, Franck Ribéry a reçu de nombreux soutiens.
Les vacances à Dubaï de Franck Ribéry ne sont pas passées inaperçues depuis qu’il a posté sur Instagram sa rencontre avec le restaurateur Nusret Gökçe surnommé « Salt Bae », devenu célèbre pour sa façon bien particulière de préparer la viande. « Pas de meilleure façon de démarrer l’année qu’avec une pincée de sel et une visite chez mon frère turc », a-t-il écrit en légende d’une vidéo le montrant attablé avec une entrecôte dorée qui lui aurait coûté 1200 euros, selon Bild.
Pulvar tacle Ribéry
Un « petit » plaisir qui fait beaucoup parler depuis, et lui a par exemple attiré les foudres de la journaliste Audrey Pulvar. « Monsieur Franck Ribery si vous ne savez pas quoi faire de votre argent, il reste plein de causes à financer et soutenir,dans le monde entier », a-t-elle lancé à l’emporte-pièce sur Twitter. Ce qui lui vaut à son tour un déferlement sur les réseaux. Franck Ribéry a ainsi reçu le soutien de nombreux internautes, mais aussi de l’ONG internationale Ummah Charity.
Une ONG défend Ribéry
« Sans aucune intention de justifier quoi que ce soit, nous vous confirmons que Ribéry fait partie de nos plus généreux donateurs. Merci à lui et à son épouse qui dépensent sans compter pour financer nos actions humanitaires… », a réagi Ummah Charity, dont l’aide humanitaire vise à alléger les souffrances des populations les plus démunies. Cette ONG n’est du reste pas la seule à profiter de la générosité de Franck Ribéry, qui avait par exemple versé 150 000 euros à Syria Charity fin 2017.
Et même si ce n’était pas le cas, cet argent, l’attaquant du Bayern Munich ne l’a pas brûlé ou jeté au fond d’un ravin pour que personne ne puisse le récupérer. Il l’a simplement injecté dans le circuit économique, participant ainsi aux revenus d’un restaurateur, d’un boucher, d’un producteur de viande bovine… Quelle différence au fond, entre acheter une entrecôte dorée ou une paire de lunettes à 3000 euros ? En 2012, Audrey Pulvar avait dû se justifier sur ses lunettes en écailles de tortue : « Le vrai prix de mes lunettes, c’est 3000 euros. Quand je les ai achetées, je me disais : je me fais un superbe cadeau », avait-elle indiqué, ce que n’ont pas manqué de lui rappeler certains internautes.
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